
16 euros
12 x 19,5 cm
166 pages
couverture souple avec rabats
Fabriano Colore Fuchsia 200g
collection : la ritournelle
ISBN : 978-2-38389-045-4
Parution : 22 novembre 2024
Paula Ringer
Sorcières. Féminisme, magie et musique
Les sorcières descendent de leurs balais, abandonnent leurs chaudrons et passent à l’électricité : elles branchent leurs micros, leurs guitares et leurs amplis pour nous jeter un sort avec la musique envoutante qu’elles concoctent.
Ces artistes-sorcières se nomment : Kate Bush, Stevie Nicks, Yoko Ono, Nina Simone, Anne Sylvestre, Marianne Faithfull, ou encore Lana Del Rey.
Abandonnant grimoires et chats noirs, les sorcières reviennent dans la culture populaire, jusqu’à revendiquer ce qui pendant trop longtemps fut un signe d’infamie, ou comme le chante Yoko Ono : «Yes, I’m a Witch» !
Écouter la playlist de Sorcières. Féminisme, magie et musique
Presse
« Les inquisiteurs, les villageois médiévaux paranoïaques et les puritains… Tous ces gardiens de l’obscurantisme font leur apparition aux lecteurs, dans un habile dialogue avec l’histoire s’appuyant entre autres sur le travail de théoriciennes féministes (Françoise d’Eaubonne, Silvia Federici, Hélène Cixous). »
Le Devoir, 29 janvier 2025 : Sophie Chartier, « Celles dont le chant nous ensorcelle »
« Un livre érudit à la portée de n’importe qui. Dans la lignée, finalement, des parutions des éditions de La Variation, et de leur collection ‘la ritournelle’ pour qui faire résonner la musique des Cramps avec Lacan relève de l’évidence. À les croire, c’est vraiment pas sorcier. »
Gonzaï, n°3, décembre 2024 : Lucas Harlé, « Paula Ringer rend hommage à ses sorcières bien aimées »
"Sorcières. Féminisme, magie et musique est une forme de documentaire viscéral poignant et qu’on ne lâche pas avant le point final, et à lire par quiconque aime la musique."
heepro music, 22 novembre 2024, "Paula Ringer, Sorcières. Féminisme, magie et musique"
"En lisant Le sexocide des sorcières de Françoise d’Eaubonne, j’ai pensé à nouveau à la scène musicale, aux corps des femmes musiciennes sur scène, à leurs discours, à leur vécu. En passant par la figure de la sorcière, je parle de l’industrie musicale en tant que système patriarcal qui engendre toutes formes de violences, de rapports discriminatoires et sexistes, mais je parle aussi de la manière dont les musiciennes ont pu affirmer leur créativité en s’inventant une identité scénique, une identité qui se forme à partir du rejet du féminin mais qui se transforme en quelque chose d’autre : la musique fait naître toutes les transformations. En devenant sorcières, les musiciennes se sentent plus fortes, elles sont en mesure de se défendre."
la variation n°3, octobre 2024 : "Yes, I’m a Witch – Entretien avec Paula Ringer à l’occasion de la sortie de Sorcières. Féminisme, magie et musique"
"Elles ne portent pas de chapeau pointu et ne volent pas sur des balais. Mais elles célèbrent elles-aussi une liberté féroce, sexuelle ou mystique à leur manière : 7 artistes, 7 musiciennes, 7 femmes libres et intenses. Laissez-vous envoûter !"
Coup de cœur de la Librairie Le Square (Grenoble)
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